Etude Gleeden : 77% des femmes infidèles manquent de compliments
C’est une étude menée par le site de rencontres extraconjugales, Gleeden, qui révèle ce chiffre. En effet, d’après cette enquête, 77% des femmes infidèles invoquent le manque de compliments émanant de leur moitié pour expliquer leur infidélité. Résultat établi à partir de 11 000 inscrites/utilisatrices de la plateforme en question, sondées à cette occasion.
Gleeden : la plateforme des femmes en quête…de féminité !?
Outre ces 77% de femmes infidèles manquant de compliments, d’autres raisons son mises en avant par ces dernières, dans le cadre de leur démarche d’infidélité. Ainsi, 82% des répondantes expriment le besoin d’être valorisées et désirées. D’autres (76%) disent vouloir se prouver qu’elles peuvent encore séduire, afin de renouer avec leur féminité. Puis, 42% des femmes interrogées avouent avoir perdu leur désir envers leur conjoint, qui les délaisserait.
Solène Paillet, directrice de la communication de Gleeden, explique : « Cette campagne a été créée en interne, inspirée par les résultats de cette enquête ainsi que par les témoignages de nos membres féminins que nous recevons régulièrement. Lorsqu’elles s’inscrivent sur notre plateforme, les femmes se font rapidement courtiser par un grand nombre d’hommes et elles reprennent très vite confiance en elles et en leur pouvoir de séduction. Savoir qu’elles peuvent encore plaire est un vrai coup boost pour leur estime personnelle, ce qui a souvent des répercussions positives dans leur couple. »
Elle continue : « Cette nouvelle campagne d’affichage fait énormément réagir, notamment sur les réseaux sociaux. Depuis la création de la marque en 2009, nous avons l’habitude que nos prises de paroles dans l’espace public soient critiquées voire attaquées comme ça a été le cas en 2015 par la Confédération des Associations Familiales Catholiques. »
Et pour conclure : « L’infidélité est un sujet encore tabou dans notre société. Peu de couples osent en parler ouvertement alors que la France est pourtant l’un des pays où l’on trompe le plus en Europe. C’est pourtant en libérant la parole autour de l’infidélité que les couples pourraient au contraire l’éviter. »
* Etude Gleeden menée en ligne du 18 février au 25 février 2020 auprès de 11 605 membres féminins en France, Belgique et Suisse
Image : @Flickr