Maseylia : Echoes of the Past, une pépite indé de plus à la PGW ! (Preview)

A la Paris Games Week, le stand Games in France regorgeait de projets indépendants. Parmi eux, un certain Maseylia : Echoes of the Past qui a su retenir notre attention. Voici un premier avis après la démo présentée lors du salon parisien.

Maseylia : Echoes of the Past, fluide et plaisant !

Maseylia : Echoes of the Past est un jeu développé par Victor Abresol, un « solo dev ». La musique, quant à elle, est composée par Zach Fitzgerald. Maseylia est un Metroidvania-like en 3D. Son sympathique développeur annonce une quinzaine d’heures de jeu pour débloquer « la vraie fin » qui se trouve dans un niveau bonus post-crédits.

Dans ce jeu, vous incarnez le seul survivant d’une civilisation disparue. Vous êtes né dans un camp de survivants où des familles vivent cachées depuis des générations, suite à une guerre légendaire. Un conflit qui s’est déroulé au siècle dernier lorsque ceux du ciel ont envahi et colonisé le monde de Maseylia. En tant que seul survivant, vous portez le poids de leur mémoire. A vous de traverser le labyrinthe de grottes et de ruines, de récupérer des pouvoirs oubliés et de combattre pour libérer votre monde.

Ce qui nous a frappé lors de notre partie c’est la direction artistique du jeu. Maseylia possède son ADN et parvient à se démarquer de la quantité astronomique de jeux indépendants actuellement disponibles. Une sensation confirmée une fois le pad en main. Les déplacements sont fluides et rapides, les contrôles sont instinctifs et on plonge rapidement dans l’univers créé par Victor Abresol. Une belle réalisation après 18 mois de dur labeur. Il en va de même pour les sauts et les combats qui sont simples et efficaces. A l’instar des anciens FPS, on a cette douce sensation de flotter sur la maps et d’avancer très rapidement. Cela devrait séduire certains « retro-gamers ». Le côté Metroidvania est assumé et revendiqué. Ici, tout se passe en 3D, ce qui fait de Maseylia l’un des seuls représentants du genre dans cette configuration, un plus assurément.

Le seul petit bémol pourrait résider dans la lisibilité de la map et de la carte qui nous sert de repère. Un point qui peut encore être travaillé mais qui ne gâche pas le plaisir de jeu.

Ce premier aperçu est très positif, vous l’aurez donc compris. Si vous n’avez pas pu essayer ce jeu à la PGW, nous vous conseillons vivement de suivre l’avancée du projet sur Steam et de télécharger la démo ! Rendez-vous dans les prochains mois pour découvrir la version finale.