Test : Project Cars 2, la simulation automobile de l’année ?
- Editeur:Bandai Namco
- Developpeur:Slightly Mad Studios
- Supports:PC, Playstation 4, Xbox One
- Genres:racing
- Nombre de joueurs:1 à 16 (32 sur PC)
- Date de sortie:22 septembre 2017
L’année 2017 aura vraiment été riche pour les amateurs de jeux de racing. Depuis FlatOut : Total Insanity en début d’année à Need For Speed Payback, il y en aura eu pour tous les goûts. Aujourd’hui sort Project Cars 2. Le titre de Slightly Mad Studios est le premier des trois simulations de l’année à sortir. C’est aussi la seule simulation multisupports de l’année. Après une bonne surprise en 2015, sur consoles, les développeurs anglais parviendront-ils à confirmer avec ce Project Cars 2 ?
Project Cars 2, trop proche du premier ?
Soyons un peu taquins, on va commencer par un reproche. Celui-ci concerne le mode carrière de Project Cars 2. On retrouve exactement le même style et le même cheminement que sur le premier épisode. Sauf que dans la suite, la petite originalité du 1 a été supprimée. Ainsi il n’y a plus de « réseaux sociaux ». Dommage, car cette idée aurait pu servir de base pour des défis ou des événements spécifiques. Bien entendu, comme le contenu est plus important, le mode carrière est plus long. Il vous propose de vivre 6 saisons d’un pilote. A chaque saison, un style de compétition dans lequel il faut s’engager. Dans chaque compétition, une ou plusieurs séries avant le titre. A la fin des 6 saisons vous devenez « le meilleur pilote » et vous pouvez alors recommencer à zéro ou disputer les catégories que vous aviez laissé de côté avant. La personnalisation est aux abonnés absents. De même, l’immersion est très sommaire. On est loin d’un F1 2017 par exemple, qui pourtant n’est pas parfait. Ce mode carrière si proche du premier opus et si impersonnel est donc la première déception de ce Project Cars 2.
Pourtant, les développeurs ont voulu penser à tout le monde. Ainsi, celui qui veut juste s’amuser et enchaîner les catégories peut boucler ce mode carrière assez rapidement. Les options étant nombreuses, on peut faire des saisons très courtes avec des courses courtes (sans essais ou qualifications, sauf en Rallycross où c’est obligatoire). A l’inverse, vous pouvez passer plus d’une centaine d’heures sur ce mode carrière. En étant très réaliste, en disputant chaque séance d’une même épreuve et en poussant le nombre de tours, vous pouvez faire exploser le compteur de la durée de vie ! Un bon point qui permet au joueur de personnaliser son expérience de jeu. Ainsi, ce que vous allez vivre dans Project Cars 2 ne sera sûrement pas la même chose que les autres joueurs rencontrés en ligne. Très intéressant et idéal pour un plaisir de jeu optimal… pour tous ! Car oui, si Project Cars 2 est une simulation le jeu se veut accessible au plus grand nombre. Mais nous y reviendrons plus tard.
En plus du mode carrière vous trouverez un mode course personnalisé, contre-la-montre, un mode eSport (dont on ne sait pas grand chose encore) et le traditionnel mode en ligne.
Reprenons. Si Project Cars 2 a un mode carrière relativement proche de son grand frère, comme beaucoup de jeux de courses automobiles (Forza Motorsport en tête), le contenu est beaucoup plus conséquent. Ainsi, on passe d’un peu plus de 70 voitures à près de 190 ! De même, on passe de 110 circuits à 146 ! Le nombre de lieux différents est multiplié par deux. En effet, on passe de 30 localisations à 63 ! En plus, ce n’est pas fini. Et oui, Slightly Mad Studios et Bandai Namco ont déjà prévu un Season Pass. On ne sait pas encore ce qu’il va nous proposer, mais on peut déjà tabler sur de nouvelles voitures et de nouveaux circuits. Il sera intéressant de suivre tout ça de près. Bref, l’un des défauts du premier est corrigé. Même si, face à la concurrence, ça reste encore un peu maigre : Forza Motorsport 7 proposera plus de 700 voitures (hors DLC) ! Néanmoins, la variété est là. En effet, on trouve 9 disciplines automobiles elles-mêmes divisées en 29 catégories ! C’est cette variété qui est un sacré atout pour Project Cars 2. Et là, on a un peu l’impression de retrouver la série Toca Race Driver de Codemasters. Le tout, en plus simulation bien entendu. Un bon point donc, indéniablement. Ce deuxième opus fête l’arrivée de l’Indycar et du Rallycross (ce dernier a le vent en poupe). De quoi offrir un peu de fraîcheur et synonyme de diversité.
Project Cars 2, alors arcade-sim ou simulation ?
Simulation bien sûr ! Bon, d’accord, si vous sortez le nez d’Assetto Corsa ou rFactor, le jeu de Slightly Mad Studios risque de vous paraître bien facile. Néanmoins, Project Cars 2 est bel et bien une simulation. Après avoir joué à WRC 7, ou Baja Edge of Control HD, le changement est radical. A tel point que le premier freinage se termine dans le mur. Même avec les aides activées, il est important de « bien conduire ». En plus, on peut s’attendre à un comportement des autos assez réaliste. Remettre à fond les gaz en sortie de virage avec une propulsion est la meilleure solution pour jouer à la toupie. Dans Project Cars 2, l’inscription dans les virages et les trajectoires sont d’une importance capitale. A l’inverse d’un Forza Motorsport où l’on peut se jouer de la trajectoire, ici ça ne pardonne pas. Surtout pour les virages rapides. Une erreur de trajectoire ? Vous pourrez aller compter les petits cailloux du bac à gravier. De même, les conditions météorologiques ayant un grand impact sur les circuits, il faut prendre en compte tous les paramètres de la course.
Alors tout n’est pas parfait, bien entendu. L’ABS ne fait, parfois, pas toujours son effet. Le comportement de certains véhicules (Clio Cup, Supercar en Rallycross) est douteux et surprenant, mais on sent bien le côté simulation du jeu. D’ailleurs, si vous avez joué au 1, vous pourrez constater cette évolution vers du « encore plus simulation ». Comme c’est à la mode, les développeurs ont aussi pensé aux joueurs équipés d’un volant. Le retour de force est mieux paramétrable et mieux rendu que dans le premier opus. Là aussi, ce n’est pas parfait mais il y a clairement une amélioration par rapport au premier.
Par contre, on regrettera vraiment le comportement incompréhensible de certains véhicules. D’une part, certains ont une meilleure tenue de route sous la pluie que sur le sec. D’autre part, certains propulsions ont le comportement de quatre roues motrices et inversement. Le pire étant, sûrement, le comportement des Supercar en Rallycross. Pourtant très attendu, leur prise en main relève de la roulette russe. Difficile d’anticiper le comportement de ces monstres de 600cv. Souvent, sur la terre, c’est comme si vous conduisiez sur la glace. C’est encore pire quand vous freinez. Dommage, surtout que les RXLites (les petites autos en Rallycross) sont jouissives à piloter. Ultra-nerveuse, très dynamiques, réactives et faciles à prendre en mains. Parfois, on est loin d’avoir l’impression qu’elles n’ont que deux roues motrices et deux fois moins de chevaux. Il reste à espérer qu’un patch vienne corriger tout ça. Bien entendu, en travaillant pas mal les réglages on peut avoir quelque chose de plus jouable et plus facile à prendre en mains. Mais, pour les Supercars, DiRT Rally reste la référence.
Nous vous parlions d’accessibilité, Slightly Mad Studios a souhaite rendre son jeu accessible à tous. Débutants ou confirmés. Si vous n’avez pas l’habitude des simulations, il vous faudra un temps d’adaptation certain et vos erreurs seront nombreuses tout au long de vos parties. Néanmoins, les développeurs proposent un grand nombre d’aides et de réglages qui permettent au jeu d’être un peu plus facile à prendre en main. Par défaut, les assistances à la conduite sont désactivées, mais un simple tour par le menu option vous permettra de les activer. De même, les indications de trajectoires peuvent être ajoutés à votre HUD.
Aussi, la difficulté (IA), les dégâts (visuels et mécaniques), la gestion des pneus, de l’essence et de la mécanique peuvent être activés ou non. D’ailleurs, si vous permettez au jeu de vous faire vivre une expérience réaliste, dîtes bonjour aux désillusions du sport mécanique. Comme, par exemple, le fait d’être en tête pendant 95% des tours au Mans, de rentrer au stand et de devoir abandonner pour boîte de vitesse cassée. Pourquoi ? Comment ? Mystère. Mais c’est aussi ça les sports mécaniques : du hasard et de la malchance.
Project Cars 2, pluie de bugs sur les 24H du Mans.
A propos de l’IA réglable. Si vous voulez un minimum de répondant, il faut la régler sur 70% au minimum. En dessous, il est aisé de lui mettre un bon paquet de secondes dans la vue. De même, son agressivité est réglable. Cependant, de base, l’IA des Project Cars est agressive. Le défaut, déjà vu dans le premier opus, est toujours présent. Si, maintenant, l’IA ne suit plus un chemin pré-défini, elle reste friande des contacts. En plus, ils sont rarement pénalisés (à l’inverse des dépassements grâce à des coupes litigieuses). L’IA est capable du meilleur comme du pire. Dans une course sur circuit oval, un petit accrochage devant, facilement contournable. Cependant, l’IA a préféré foncer dans le tas. Idéal pour nous offrir la victoire. Lors des départs lancés, l’IA peut aussi buguer. De ce fait, elle ne démarre pas, vous ou un autre pilote lui rentre automatiquement dedans et jackpot, c’est la pénalité ou la casse mécanique ! Bref, l’IA n’est toujours pas le point fort de la série. Dommage, car son agressivité offre plus de réalisme. Son aspect imprévisible également.
Les bugs, d’une manière plus générale, sont assez nombreux. A croire que le jeu devait sortir avant la concurrence (Forza & GT Sport) quitte à sortir avec sa jolie collection de bugs. Crash lors de la régénération de l’auto dans les stands, voiture mal placée sur la ligne de départ, voiture invisible lors des ralentis, dégâts physiques toujours présents alors que l’on recommence la course, départ avec un tour de retard (si, si!), gestion du tour joker frauduleuse sur un circuit en RX, menus vides, etc etc... Nous avons rencontré de nombreux problèmes lors de notre test du jeu. C’est vraiment surprenant d’en voir autant sur un tel jeu lors de sa sortie. Et aussi surprenant de voir nos confrères et d’autres les passer sous silence. Après vérification sur une version Xbox One et une version PC, nous avons constaté que les bugs sont toujours là. Preuve que nous n’avions pas halluciné. Encore une fois, ce défaut pourra être corrigé dans les semaines/mois à venir, mais pour l’instant il est bien là et fait un peu tache.
A l’inverse, le jeu est fluide. Même avec un très grand nombre de voitures à l’écran (plus de 30) le framerate reste stable. Malgré les différents éléments météorologiques qui peuvent alourdir la lecture du jeu, le titre reste stable et constant. Un très bon point. Pas de soucis à se faire pour la fluidité en écran partagé, il n’y en a pas… encore une fois, les développeurs imaginent qu’un jeu de racing ça se joue seul ou en ligne. Vraiment dommage.
Project Cars 2, plaisir des yeux.
Slightly Mad Studios a fait du très bon boulot sur l’aspect visuel de Project Cars 2. Le jeu n’est pas parfait mais, le plus important, est très réussi. En effet, la modélisation des voitures est d’une grande qualité. Les détails fourmillent, les proportions sont respectées, et les plastiques font vraiment plastiques (par exemple). La modélisation des 190 voitures est d’excellente facture. Le top du top pour un jeu de courses. On a hâte de pouvoir comparer à Forza Motorsport 7 et Gran Turismo Sport, mais le jeu édité par Bandai Namco se défend très bien et pourrait remporter la bataille. Un vrai régal pour les yeux. Un savoureux rendu visuel mis en exergue par le mode photo du jeu. Son seul défaut ? Un nombre de caméras limité. Ce mode photo est juste… exquis ! On passera de longues heures dans ce mode photo qui offre un formidable voyage au pays des courses automobiles. Chapeau messieurs les développeurs, chapeau !
Dommage, les décors et circuits ne sont pas tous logés à la même enseigne. D’une manière générale, ils sont même moins beaux que les autos. Disons qu’ils font un peu vides aussi. A l’image des stands, complètement déserts, sauf lors des pit-stops. Le public est aussi assez peu présent, même au Mans. Et, sur le Nürburgring, pas mal de tags et décos sont absents. Sur les pistes de Rallycross, les décorations officiels (donc sponsors officiels) sont absents. Tout comme certains éléments visuels. Cependant, pas de panique. L’ensemble reste beau et très correct. Les joueurs PC et 4K sur consoles auront d’ailleurs un certain plaisir à rouler sur ce jeu. Oui, il faut bien avouer que les versions « standards » consoles sont un peu moins belles et fines que la mouture PC. Comme bien souvent. Mais rien de bien grave.
Project Cars 2 introduit la météo dynamique (en course) et un bon nombre d’événements météorologiques. Si l’ensemble reste moins beau et réaliste que dans DriveClub (qui reste indétrônable à ce niveau-là), Slightly Mad Studios a fait un superbe travail de ce côté-là. Les conditions météorologiques sont un sacré plus et renforcent, encore un peu, le réalisme du jeu. Pluie fine, averse, orage, tempête, brouillard, blizzard, neige, … tout y est ou presque ! Il ne manque plus que le sable et les tempêtes de sable pour avoir un éventail complet. Bref, les développeurs ont fait un formidable travail sur cet aspect du jeu. D’autant plus que la piste évolue en fonction de la météo. Les flaques d’eau peuplent la piste et sont autant de pièges. L’aquaplaning évolue avec l’eau sur la piste. Quand la météo passe de la pluie au soleil, la piste s’assèche, bref c’est proche de la perfection à ce niveau-là. On regrettera juste le rendu visuel, en caméras cockpit, qui est moins impressionnant que la météo. Aussi, les détails (gouttes qui s’échappent, traînées…) sont très poussés. Un rendu visuel de grande qualité. Les salissures sont en adéquation avec la météo et l’état de la piste. Elles sont correctes mais pas non plus d’un grand niveau. De même, sur terre et neige, la piste ne se déforme pas au fil des passages.
Au final, le seul véritable défaut visuel de Project Cars 2 réside dans sa modélisation des dégâts. Étrangement, depuis de longues années maintenant, cet aspect-là est souvent peu développé dans les jeux de racing. Difficultés techniques à intégrer de vrais dégâts visuels ? Ou simple «choix » des développeurs ? On ne sait pas même s’il y a sûrement un peu des deux. Ainsi, un crash frontal à 330 km/h ne donne qu’un pare-chocs détruit, un capot un peu plié, et un pare-brise abîmé. Les dégâts sur le pare-brise sont assez risibles mais, cependant, sont gênants. Comme en vrai. Bref, une fois de plus la gestion des dégâts (visuelle) n’est pas à la hauteur. A l’inverse, les dégâts se ressentent bien sur la conduite. Pire, en monoplace, ils peuvent être très développés au moindre choc. En espérant que Project Cars 3, d’ici 2020, propose enfin une modélisation des dégâts travaillée et réaliste.
Project Cars 2 , son pour son moteur.
Ce qui pèse aussi dans un jeu vidéo de course, c’est sa réalisation sonore. La preuve, on critique depuis 7 ans les WRC pour leurs modélisations sonores moyennes (voire médiocre avant). Pour Project Cars 2, ce sera un point positif de plus. En effet, les développeurs rendent une copie de haut niveau. Le parc automobile du jeu est très varié. De ce fait, on pouvait craindre pour le bruit des moteurs et leur variété. Mais, au final, on a le droit à une symphonie de cylindres et autres sorties d’échappements. Seule la Mini JCW Supercar, au son si particulier, est peut-être « ratée ». Les autres autos proposent chacun leur rendu sonore. Chaque auto à sa carte d’identité sonore. Les développeurs ont fait un très bon travail là-dessus. De plus, chaque vue offre un rendu sonore différent. Ainsi, en passant de la vue cockpit à la vue casque+cockpit, le son sorti est plus sourd. Comme si on avait réellement le casque sur la tête.
Un très bon point donc conforté par les différents bruitages. Ces derniers ne sont pas aussi excellents que les sons moteurs mais demeurent de bonne qualité. Sauf, pour les bruitages de collisions. Ainsi, à certains moments, on a presque le sentiment de ré-entendre les bruits imagés du premier Driver ! Séquence nostalgie bonjour. Sauf que dans une simulation de 2017 c’est un peu décevant. Ces sons sont, bien sûr, difficiles à reproduire, mais là… c’est un peu trop caricatural. On dirait un peu un mauvais doublage. Les crissements de pneus (au freinage) sont un peu exagéré également.
Comme dans le premier opus, nous avons le droit à un ingénieur/spotteur. Il est bien plus bavard que son bon vieux Jeff dans la série des F1 de Codemasters. Son intervention, sur PS4, se fait dans le haut-parleur de la Dualshock. Un son un peu trop fort qu’il convient de baisser dans les options. Ces indications sont parfois intéressantes (surtout en Rallycross où l’on roule parfois à l’aveugle), mais il arrive souvent qu’il enfonce des portes ouvertes. Malheureusement, il est uniquement doublé en anglais. Il faudra donc lire les sous-titres si vous êtes anglophobe. Car, honnêtement, dès que l’on s’intéresse un peu aux sports mécaniques, ses phrases deviennent très faciles à comprendre.
Terminons en évoquant l’absence de musiques et autre bande son dans le jeu. Le rendu est très austère. Les bruitages menus sont sobres (on est loin de la caricature sonore des GT), et l’unique main thème du jeu se fait on ne peut plus discret. Là aussi, comme sur les circuits du jeu, ça manque de vie ! Dommage.
- Modélisation des voitures
- Diversité
- Mode Photo
- Sons moteurs
- Durée de vie
- Paramétrage poussé du jeu et des voitures
- Le réalisme
- Conditions météorologiques
- Mode carrière quasi-identique au 1
- IA
- Les nombreux bugs
- Le comportement de certains véhicules
- On en voudrait encore plus (Rallye par exemple!)
Au final ce Project Cars 2 est un très bon cru. Il ouvre la saison des simulations sur consoles et PC. Slightly Mad Studios offre une suite de grande qualité même si elle demeure (au niveau de la forme) encore trop proche du premier opus. De même, les nombreux bugs et l’IA empêchent le titre de devenir la nouvelle référence du genre. Cependant, il convient de dire que Project Cars 2 possède de solides arguments face à GT Sport et Forza Motorsport 7. Cette simulation offre un bon compromis entre réalisme, difficulté et accessibilité. Les nombreux paramètres (à tous les niveaux) vous permettront d’ajuster votre expérience de jeu à vos envies et à votre style. Un atout de taille qui mérite d’être souligné. Le mode photo vaut son pesant de cacahuètes et mettra en avant la réalisation visuelle du titre. L’arrivée de nouvelles disciplines et de conditions météorologiques très développées sont deux arguments de plus pour succomber à Project Cars 2. C’est un peu le nouveau Toca Race Driver en version simulation. Un régal même s’il a un léger goût d’inachevé.