assassin's creed ubisoft Xbox Series X et S

Un gros éditeur français de jeux vidéo dans une situation alarmante


C’est un peu la descente aux enfers pour l’éditeur Français Ubisoft. Alors que ce dernier faisait partie des plus profitables de l’industrie, il y a un certain nombre d’années, les coups durs et échecs s’enchaînent, depuis un moment déjà. Entre les accusations et faits avérés d’harcèlement (et le manque de réactions des cadres, pour enrayer ces maux) et les échecs commerciaux, le tricolore ne cesse de s’enfoncer, au gré des années.

Ubisoft a le seum…

Ainsi, sur l’année 2022, Ubisoft a enregistré une nouvelle baisse de ses profits, de l’ordre de -10%. Cela se répercute sur les projets vidéoludiques futurs de l’intéressé, qui ne dispose plus des liquidités suffisantes pour prendre certains risques. A savoir, lancer de nouvelle licences. D’ailleurs, quatre titres avec déjà été annulés il y a peu, dont les très attendus Splinter Cell VR et Ghost Recon Frontline. Mais nous apprenons que plusieurs autres licences seraient désormais impactées et que des projets en cours de développement ne seraient plus à l’ordre du jour. Leurs noms n’ont, toutefois, pas encore été divulgués.

Parallèlement à cela, des titres supposés booster les ventes d’Ubisoft n’ont pas obtenu l’accueil souhaité de la part du public. Et en particulier, le dernier opus de la série Just Dance. Il faut dire que cette dernière tarde à réellement se renouveler…D’autre part, la très grosse exclusivité Nintendo Switch, Mario + les Lapins Crétins 2, s’est nettement moins bien vendue que souhaité. L’avenir semble donc s’assombrir pour Ubi, qui devrait toutefois s’appuyer sur ses piliers, Assassin’s Creed et Far Cry notamment, pour tenter de conserver la tête de l’eau, histoire de laisser passer la tempête, s’il n’est pas trop tard.

Article publié le 15/01/2023 à 6h15