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C'est maintenant officiel, Vladimir Poutine, Président de la Russie, fait l'objet d'un mandat d'arrêt international ! En effet, l'intéressé a été ciblé par la Cour pénale internationale (CPI), qui a confirmé l'information, vendredi dernier.

Les drones occupent une place importante dans le conflit armé entre la Russie et l'Ukraine. Aussi, cette vidéo permet de visualiser l'action de ces appareils, grâce à une vision thermique offrant un visuel sur les cibles de l'engin en question.

Peu apprécié du Président de la Russie, le Groupe paramilitaire Wagner est pourtant l'un des atouts des forces de Moscou.

Outre la livraison de chars Leopard (dont dix nouvelles pièces, livrées cette semaine à l'Ukraine) d'origine allemande, les troupes ukrainiennes bénéficient, également, d'une formation de la part des soldats germaniques. France 24 nous propose un intéressant reportage sur le sujet.

Depuis le début de la guerre en Ukraine, cette société Tchèque a augmenté ses bénéficies de 100% ! De là à dire que l'Ukraine utilise ce genre de produit pour tromper l'ennemi il n'y a qu'un pas, que nous ne pouvons franchir...

C'est le média TF1 Info qui vient de diffuser cette vidéo, qui peut clairement choquer les âmes sensibles.

Cette séquence, postée il y a deux jours par le média The Sun, a de quoi forcer le respect. Il s'agit d'un soldat ukrainien, posté dans une tranchée et subissant les assauts répétés d'un tank russe.

Oui, cette guerre en Ukraine est vraiment celle de l'horreur même si aucun conflit armé ne peut jamais être considéré comme "propre". Outre les viols commis par les soldats russes, sur des femmes ukrainiennes, des sévices sexuels sont également signalés sur des prisonniers, faits exécutés avec des armes à feu.

Tout n'est clairement rose, au sein des forces ayant intégré l'offensive russe, en Ukraine. Et en particulier entre les soldats de Vladimir Poutine et le Groupe paramilitaire Wagner, qui s'affiche généralement en première ligne, lors des attaques menées par l'assaillant.

Vladimir Poutine vient de prononcer un discours, voilà quelques heures, riche en nouvelle provocation envers l'occident. Lors de cette allocution, le Président russe a ainsi évoqué le passage d'un "conflit local" au statut de "conflit mondial".

La Moldavie a accentué la protection de ses frontières, ces derniers jours, en raison d'un risque de coup d'état organisé par la Russie. Evidemment, Moscou a immédiatement démenti l'information.

Cet ex-mercenaire du Groupe paramilitaire Wagner, ayant trouvé refuge en Norvège, craint pour sa vie.

Evidemment, les propos tenus (et relayés par la chaîne LCI) par l'un des chefs du comité militaire de l'Otan, Rob Bauer, sont à tempérer, comme l'a déjà fait publiquement le chancelier allemand, Olaf Scholz.

Depuis plusieurs jours et l'intensification de la fourniture de matériel -notamment des blindés- par la France à l'Ukraine, les menaces russes s'intensifient. En effet, des sous-entendus réguliers laissent entendre que Moscou pourrait frapper l'hexagone, dans le cas où notre gouvernement poursuivrait sa politique de soutien envers Kiev.

Avec un tel armement, l'Ukraine va disposer d'un atout majeur dans la guerre qui l'oppose à la Russie. Et c'est l'Allemagne, saluée par le France notamment, qui a décidé de prendre son courage à deux mains, en envoyant des chars Léopard 2 sur le front.

C'est un média particulièrement instructif que nous propose Le Parisien.

Un ancien mercenaire russe, ex-membre du groupe paramilitaire Wagner, engagé en Ukraine aux côtés de l'armée de Moscou, demande l'asile. Récit de son parcours et de son histoire, avec ce reportage en vidéo de France 24.

Le Royaum-Uni est le premier pays occidental à livrer des chars à l'Ukraine, en conflit avec la Russie. En effet, 14 Challenger 2 vont venir soutenir les ukrainiens sur le front.

Vladimir Poutine n'en est, décidément, pas à une humiliation près ! Le Président russe avait déjà mis à mal son Ministre de la Défense, juste avant le lancement de l'offensive en Ukraine, lors d'une retransmission télévisée.

C'est une information qui vient de tomber, publiée notamment par France 24 (vidéo) mais à prendre avec prudence. Car pour l'heure, l'Ukraine n'a pas confirmé la nouvelle.