Switch

Nos impressions sur Hollow Knight : Silksong


Continuons notre exploration du Nintendo Post E3 et arrêtons-nous quelques instants sur l’unique borne qui proposait de jouer à Hollow Knight : Silksong.

Microcosmos

N’ayant pas eu la chance de jouer au premier jusqu’à maintenant, nous sommes briefés manette en main sur cette suite. Nous incarnons un personnage secondaire croisé dans le premier opus qui va avoir la chance de vivre ses propres aventures.

L’animatrice du stand nous prévient d’emblée : le titre est réputé pour sa difficulté. Cela ne nous empêche pas de foncer comme des dératés dans un enchevêtrement labyrinthique d’écrans à la recherche de notre objectif. Premier constat : c’est super joli. La DA est très travaillée et le héros insectoïde bouge avec souplesse sur l’écran. C’est fluide et très joli malgré la dominante de couleurs gris/marron.

Une fois l’effet “wahou” passé, il est temps de trouver quelques ennemis afin de tâter la soi-disant difficulté du titre et… Effectivement ce n’est pas évident. Inutile de foncer dans le tas, on se fait dézinguer en quelques coups. Privilégiez les attaques à distance (limitée) en lançant des dagues et approchez vous de votre ennemi après qu’il ai placé un coup pour lui en asséné un ou deux.

Il est également possible de se soigner en cas de danger, mais cela consomme une barre d’énergie qui ne peut se recharger, tout comme les dagues de jet, en trouvant un banc.

Les animations sont super stylées, le personnage peut agripper aux rebords des plateformes avant d’y monter. Il y a une touche pour dasher et ainsi esquiver les attaques et les pièges. Bref, ce Silksong est un metroidvania dans la droite lignée du premier, d’après ce qu’on en a compris et ce qu’on a vu, à la difficulté relevée.

Vous pourrez vous frotter à ce nouveau challenge avant la fin de l’année.

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