Test de Fitness Boxing Ken le Survivant, pour des entraînements plus…virils !?

Avec Fitness Boxing : Fist of the North Star (Ken le Survivant), Imagineer nous propose une (troisième) version complètement inattendue de l’excellent jeu de Fitness exclusif à la console Switch. Certes, l’association entre les deux univers n’est pas évidente. Néanmoins, avec cet opus, la licence en question pourrait bien attirer un nouveau public, pas prêt à assumer le fait de jouer à un soft de fitness “classique”. Car, ici, il s’agit bien de balancer des bastos aux ennemis emblématiques de Ken et bénéficier des conseils du héros en question mais aussi, de quelques autres coachs…
Fitness Boxing Fist of the North Star : quelles spécificités ?
Avec Fitness Boxing : Fist of the North Star, la Switch poursuit sa route sur le terrain des jeux “pour bouger”. Vous le savez, sur LMJHT, nous sommes fans du concept, probablement le meilleur du marché -toutes consoles confondues- pour vraiment se remettre en forme et ou, sculpter son corps. Dans l’esprit de ce que peuvent offrir certaines salles de sport avec le Body Combat, par exemple. Sauf que là, tout se fait à domicile, l’émulation offerte par un véritable club (et ses adhérents) en moins.
Alors, nous n’allons pas revenir en détail sur le principe du jeu. Car nous avions déjà évoqué cet aspect dans les tests de Fitness Boxing et Fitness Boxing 2, que vous pouvez lire ou relire. Nous allons plutôt nous concentrer sur les différences, les ajouts et les pertes, par rapport aux deux premiers opus.
La base était bonne et elle reste intacte avec Ken
Concrètement, le principe reste de toute façon le même. A savoir, des icônes défilant à l’écran, vous indiquant les mouvements à exécuter (coup de poing, crochet, uppercut, esquive, etc.), en musique, avec les conseils d’un coach. Sur ce point donc, le concept reste le même et le timing aussi. C’est à dire, précis et rarement pris à défaut.
Les différences se font donc au niveau du contenu à proprement parler. Tout d’abord, les musiques (qui se débloquent progressivement, en utilisant la monnaie du jeu, que l’on obtient en avançant dans les exercices) sont davantage axées metal/rock et électro. Là ou les deux précédents jeu offraient aussi des registres comme la pop et globalement, de styles plus diversifiés. Evidemment, ces musiques sont inspirées du manga et permettront aux fans absolus de retrouver l’ambiance sonore du dessin-animé. Ce qui constitue un véritable atout, pour les aficionados. Pour les autres, si ces styles musicaux vous plaisent, sachez qu’il sont plutôt de bonne facture car adaptés à la pratique du fitness-boxing. En tout cas, de notre côté, nous avons apprécié, sans être des fans absolus de Ken le Survivant.
Le mode “combat”, la belle surprise !
Outre le classique entraînement “libre” et le défi/entraînement “quotidien”, identiques aux autres opus, un mode combat fait son apparition. Et c’est sur ce dernier que les fans de Ken vont réellement tripper ! Car, ici, il faut battre un certain nombre d’ennemis, qui s’enchaînent avec des boss et des attaques ultimes (énorme kiff, joy-con en main !!) à dégainer. Evidemment, il y a un ordre à suivre, comme un mini-mode story, afin d’évoluer dans le mode en question.
En outre, la monnaie du jeu est attribuée sans excès, ce qui signifie qu’il faudra vraiment s’entraîner, quotidiennement, pour gagner suffisamment et débloquer les musiques additionnelles, coachs supplémentaires (une seule femme, par contre, dommage…) et tenues inédites. Toutefois, déception sur ce dernier point, les développeurs s’étant contentés de délivrer quelques ensembles, identiques à ceux présents sur chaque coach par défaut. Seuls les couleurs et motifs ayant été modifiés. Alors que dans FB 1 et 2, les choix de vêtements étaient très variés, avec la possibilité de changer de chaussures, de gants, lunettes, hauts/bas et autres accessoires. Dommage…En revanche, nous avons adoré les bruitages, composés essentiellement de cris et hurlements typiques du modèle original. OUI, ce Fitness Boxing là sent grave la testostérone !
Un dernier mot pour évoquer les décors des différents stages, évidemment issus de l’anime qui avait fait fureur, en France, dans les années 90. On retrouve, ainsi, l’atmosphère si spécifique du manga avec ses environnements postapocalyptiques, notamment. Le tout dans une qualité globale plus que satisfaisante.
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