Test DiRT Rally 2.0 Test

[Test] DiRT Rally 2.0, Codemasters nous fait vrombir de plaisir


Fiche jeu

  • Editeur:Codemasters
  • Developpeur:Codemasters
  • Supports:PC, PS4, Xbox One
  • Genres:racing
  • Nombre de joueurs:1 à 8 (online)
  • Date de sortie:26 février 2019

Après un DiRT Rallye qui a su séduire les fans de simulation mais qui a déçu une partie des fidèles de la licence Colin McRae Rallye / DiRT. Après un DiRT 4 qui ne savait plus trop où il en était et manquait clairement de variété. Voici venir un DiRT Rally 2.0. Un pari risqué pour Codemasters qui veut célébrer les (presque) 20 ans de son magnifique et célèbre Colin McRae Rally 2.0, mais aussi redresser la barre. Que ce soit pour la licence DiRT ou d’une manière générale après les échecs du dernier Micro Machines et du sympathique OnRush. Ce DiRT Rally 2.0 était donc très attendu au tournant. Mais, le résultat est-il à la hauteur de l’héritage qu’il met en avant ? La réponse avec notre test.

DiRT Rally 2.0 : pour l’amour du rallye et du rallycross.

A l’instar de Forza, Codemasters souhaite proposer deux séries pour sa licence phare. Des titres plus réalistes et plus accès simulation avec DiRT Rally. Et, des jeux plus fun, plus accessible et plus diversifié avec DiRT. Si le premier épisode a été un franc succès auprès des amateurs de simulation automobile, les puristes de la licence de Codemasters étaient décontenancés, voire totalement déçus. Puis, DiRT 4 a essayé de réconcilier tout le monde. Cependant, le jeu manquait de folie, de diversité et de contenu. Bref, depuis DiRT 3, la licence se cherche un peu. Le succès semble moins au rendez-vous. Mais, ce DiRT Rally 2.0 veut réussir là où DiRT 4 n’a pas su triompher : séduire tous les types de joueurs et miser sur l’héritage d’un certain Colin McRae Rallye 2.0 (sorti en 1999).

Dans ce nouvel opus, seuls le Rallye et le Rallycross sont au programme. On retrouve d’ailleurs la licence FIA World Rallycross Championship. Cette année, 8 des 12 manches de la saison 2018 sont dans le jeu, les autres arriveront en DLC ! C’est mieux que rien. Du côté du rallye, on retrouve les USA, l’Espagne et l’Australie vus dans DiRT 4. L’Argentine, la Pologne et la Nouvelle-Zélande font leur arrivée. 6 rallyes et 8 pistes de rallycross, c’est donc plutôt pas mal pour le lancement de ce DiRT Rally 2.0. On regrettera l’absence de rallyes mythiques comme la Grèce (disponible dans DiRT Rally), le Monte-Carlo (DiRT 3), le Wales (DiRT 4) ou encore la Finlande (DiRT 3 & DiRT Rally). Néanmoins, le Monte-Carlo arrivera dans la première saison des DLCs.

Du côté des voitures, une cinquantaine est disponible dans le jeu de base. La toute nouvelle Volkswagen Polo Gti R5 fait son apparition en force. Elle est même mise en avant sur la jaquette du jeu. La classe R5 est très bien représentée avec quasiment toutes les voitures actuelles de la classe (hormis la Hyundai i20 R5 pourtant jouable dans DiRT 4). D’ailleurs, il doit y avoir eu un souci de licence avec Hyundai puisque la seule Supercar officielle absente du jeu est la Hyundai i20 RX de GRX Taneco ! Peut-être que le partenariat entre Hyundai Motorsport et Kylotonn/Bigben pour l’eSport WRC y est pour quelque chose. Du côté des grosses nouveautés, on soulignera l’arrivée de la Citroën DS 21 (une sacrée surprise) ou la Renault Megane R.S RX développée par GCK et Prodrive. De même, les RGT arrivent avec la Chevrolet Camaro GT4.R, la Ford Mustang et la Porsche 911 RGT. On pourra regretter l’absence de la star des RGT, l’Abarth 124 Rally. Pour les autres véhicules, une très grande partie était déjà disponible dans les deux derniers DiRT. Les « surprises » sont donc minimes. A souligner, l’arrivée des Crosskart en Rallycross également.

A l’inverse de DiRT 4 dont le menu était un peu illisible, ce DiRT Rally 2.0 fait dans la simplicité et la sobriété. Par contre, le mode carrière, comme on le connaissait, est passé à la trappe. Ici, le menu de gauche vous propose de faire vivre votre écurie. Au programme, quelques manches à disputer les unes après les autres en rallye ou en rallycross. Acheter une voiture d’une classe supérieure vous permettra de disputer ces mini-championnats avec. Les épreuves communautaires sont regroupées dans cette partie « mon écurie ». L’argent obtenu à chaque course/championnat vous sera utile pour acheter de nouveaux véhicules, réparer votre voiture pendant et après les courses, améliorer votre moteur et engager des membres de staff. Très importante dans DiRT 4, cette dernière partie relève plutôt du gadget qu’autre chose dans ce DiRT Rally 2.0. En fait, on sent que la partie solo a été un peu mise en retrait. Quand on arrive sur le menu on débarque sur le menu partie rapide qui permet de créer son propre championnat personnalisé en solo ou en ligne. Il est devenu si facile d’ajouter des joueurs online dans une partie. On sent que Codemasters souhaite développer la communauté online. D’ailleurs, l’arrivée de l’eSport sur DiRT ne devrait plus trop traîner. Le WorldRX est mis en avant également en étant sur la première page. Dans ce nouvel opus, les développeurs ont clairement su simplifier leur menu et le rendre très lisible. Seul hic, le mode carrière (si on peut encore parler de mode carrière) est un peu mis au placard. Ah qu’il est loin le mode carrière de DiRT 2 avec son mobile-home ! En tout cas, que vous jouez en solo ou en ligne, la durée de vie de ce DiRT Rally 2.0 est très importante. Une quarantaine d’heures pour en faire le tour, mais une durée de vie potentiellement infinie avec les futurs DLCs à venir et les très nombreuses parties que vous aurez envie de disputer. Malheureusement, pas en écran scindé. Une fois de plus, Codemasters a fait l’impasse sur le multijoueur en local. Un choix toujours autant incompréhensible. Surtout qu’en face, Kylotonn (WRC) et Bigmoon Entertainment (Dakar) proposent de jouer en écran scindé ! Cette absence est un vrai crève-cœur et un vrai point négatif.

A Loeb d’un nouveau gameplay.

Le problème du gameplay du premier DiRT Rally, c’est qu’il était tout sauf accessible. Peu pédagogue aussi, les quelques aides au pilotage n’aidaient pas vraiment. Le but clairement était de marcher sur les traces de Richard Burns Rally et de surfer sur la mode de la simulation. Et ce, quitte à décevoir/perdre des fans de la première heure. Avec DiRT 4, le but affiché était de proposer deux gameplay en un jeu. Mais l’arcade n’était pas aussi fun que par le passé, et la simulation pas aussi travaillée que dans DiRT Rally. Sortie de route donc. Alors, DiRT Rally 2.0 faisait tout aussi peur qu’on l’attendait. Et puis, il y a la première spéciale (ou la première course de Rallycross). Et là, c’est la joie, le champagne !

Pour les novices, ou ceux qui n’aiment pas vraiment la simulation, les aides sont toujours là. Mais, cette fois-ci, elles proposent un résultat aux petits oignons. La prise en main y est aisée et immédiate. Le plaisir tout aussi bon. Pourtant, il faudra apprendre. Apprendre à doser son freinage, apprendre à gérer sa motricité sur terre, apprendre à travailler ses trajectoires, apprendre à fermer une porte en Rallycross. Mais, ici, tout se fait dans la joie et dans un format d’apprentissage plaisant. Les aides permettent d’éviter de tomber dans la simulation punitive et de donner envie de jouer à plus de monde. Bref, ce qu’il manquait à DiRT Rally premier du nom.

Le jeu s’adressant aux amateurs de simulation, il est donc crucial de leur proposer un gameplay adapté. Et, c’est le cas. Ici, la prise en mains est plus fine, plus poussée. On peut mieux inscrire la voiture dans les virages, dans les cordes. Il y a vraiment des secondes à aller chercher en peaufinant son pilotage. Comme en vrai. Là aussi, il est bon d’apprendre. Codemasters a voulu rendre une copie plus réaliste, plus travaillée et ça se sent. Avec DiRT Rally 2.0 on a la meilleure simulation auto/rallye depuis Richard Burns Rally. Le retour de force est paramétrable et rend avec justesse des sensations grisantes. Ici, les sensations de vitesses sont exceptionnelles. On a vraiment l’impression de piloter une Supercar de 600cv ou une R5 de 275cv. On sent vraiment bien l’auto.

En plus, le comportement est vraiment différent d’une auto à l’autre. Le passage d’une classe à l’autre est flagrant. Mais, le travail sur le comportement des voitures au sein d’une même classe est extra. En R5, on sent que la Polo et la Fabia sont au dessus du lot. Mais, la Fiesta est plus joueuse, on a l’impression de pouvoir en faire ce qu’on veut. En Rallycross, c’est pareil. La Megane GCK est vraiment différente de ses copines de jeu. La Polo est un monstre mais qu’il faut bien maitriser, elle est moins « facile » et joueuse qu’une 208 ou une Fiesta. Etc, etc. Le travail de réalisme effectué par les développeurs est de grande qualité. Bien plus poussé que dans DiRT Rally.

Nouveauté de l’année, la déformation des routes. Suivant votre position au départ, vous aurez à faire la trace ou subir celles des autres. La déformation est d’ailleurs paramétrable (authentique, optimale ou inexistante). Malheureusement, quand on part très loin au classement (avec une historique par exemple) on voit bien qu’il y a des traces mais on ne sent pas assez que la route est creusée. On est loin d’un terrain miné comme lors du Rallye de Turquie 2018. Et, c’est bien dommage. Par contre, dans les classes modernes, on sentira les effets du balayage. Peut-être pas autant que Sébastien Ogier, mais on peut quand même le constater au niveau du temps. Maintenant, on a hâte de voir ce que Kylotonn nous réserve en terme de déformations de route avec WRC 8.

Plus beau mais pas si nouveau.

Si vous avez fait DiRT Rally et DiRT 4, vous allez reconnaitre beaucoup de choses dans ce DiRT Rally 2.0. Visuellement c’est plus beau, plus propre que DiRT 4, mais ça en reste proche. Certaines animations aussi sont identiques. Des commentaires, les menus de fin de spéciale, des spéciales, des idées (s’arrêter au point stop qui ne ressemble moins à point stop qu’avant), … Il y a pas mal de ressemblance entre les jeux.

Sur la gestion et la modélisation des dégâts c’est quasiment la même chose d’ailleurs. On a une option dégâts hardcore, mais au final ça n’influence pas vraiment les choses. Pas possible d’arracher sa roue. Il faut y aller pour planter définitivement son auto. Les dégâts mécaniques arrivent plus facilement, mais sont vraiment « gentils » par rapport aux sorties que vous pouvez faire. Comme dans DiRT 4, il est possible de s’arrêter pour changer une roue ou tenter de réparer. D’ailleurs, il vous faudra bien choisir de prendre une ou 2 roues de secours à l’assistance pour pouvoir changer un pneu en cas de crevaison (le choix par défaut est d’une roue). Le type de pneumatiques que vous pouvez chausser est aussi personnalisable. Pneus usés, dur, souple, tendre… à vous de choisir à l’assistance. Mais, attention à bien se renseigner sur le type de route qui vous attend dans les spéciales ! En cas de panne électrique, vous pouvez perdre vos feux mais aussi les notes de votre copilote (qui seront remplacées par un « ? »). Une excellente idée. On aurait vraiment aimé voir des dégâts plus poussés et qui arrivent plus vite. Car, au final, il n’y a que l’IA que l’on croisera en bord de route. A noter, si vous pouvez croiser une auto sur le bas côté, il n’est pas possible de rattraper ou se faire rattraper par une voiture (comme dans DiRT 3). C’est vraiment regrettable.

Quand il y a un “?” dans les notes, c’est qu’il y a une panne d’intercom/électrique !

A propos d’IA, il y a vraiment une différence entre le rallye et le rallycross. En Rallye, il va falloir attaquer fort pour aller chercher un bon temps. En difficulté 50/100, vous pouvez déjà avoir quelques déconvenues face à l’IA (surtout en Historique). Alors qu’en Rallycross, vous pouvez facilement mettre 3-4s au deuxième. En RX, l’IA est agressive quel que soit le niveau de difficulté, mais reste facile à battre. On aurait aimé un jeu plus homogène dans sa difficulté et une IA plus compétitive qu’agressive. Par contre, il est appréciable de voir que l’IA peut faire des erreurs en RX. Néanmoins, d’une manière générale, Dirt Rally 2.0 est plus facile que le premier opus. Rien que les trophées/succès le prouvent. En 20-25 minutes de jeu, vous pouvez débloquer plus de trophées qu’en 20 heures sur DiRT Rallye ! Les chasseurs de trophées devraient être ravis et retrouver un jeu « easy platine » comme les WRC d’avant le 6 ou les premiers DiRT.

Graphiquement parlant, comme évoqué un peu plus haut, DiRT Rally 2.0 est plus joli, plus travaillé que les derniers DiRT. Ce sont surtout les décors qui font plus réalistes et plus travaillés. En dehors de la C3 R5 (bien trop large au niveau des passages de roues), les voitures sont superbement modélisées. Avec le bois de certaines historiques, on en prend plein la vue quand on joue en vue cockpit. Un vrai régal ! L’EGO Engine qui semblait dépassé au début de la génération trouve une seconde jeunesse et se révèle séduisant. Pas aussi beau qu’un DiveClub, mais très joli. Un autre bon point pour ce DiRT Rally 2.0 !

C’est l’histoire d’un belge…

Annoncé l’hiver dernier, la voix française du copilote francophone avait été oubliée par un grand nombre de joueurs. Alors, ce fut une petite (mauvaise ?) surprise que d’entendre l’accent de Stéphane Prevot. Ce copilote belge fait du rallye depuis 1987. Il a copiloté Bruno Thiry pendant de longues années en Belgique, ERC et WRC avant d’être associé à François Duval en mondial. Depuis 2006, il a copiloté de très nombreux pilotes dans le monde entier : Chris Atkinson, Stéphane Sarrazin, Stéphane Lefebvre, Evgeniy Novikov ou même la star indienne des rallyes, Gill Gurav ! Un copilote d’expérience donc. Un très bon point pour ce DiRT Rally 2.0. Néanmoins, si les notes sont d’une grande qualité, on peut regretter le choix du copilote pour le doublage français. La faute à quelques expressions belges et un accent parfois trop prononcé (« myeux » au lieu de milieu par exemple). De plus, son intonation est assez monotone. Cela manque de rythme. Peut-être cela vient-il de la façon dont a eu lieu l’enregistrement des notes, mais des fois on a l’impression d’une récitation plutôt que d’être épaulé par un vrai copilote. Vraiment dommage. Si, au début du jeu, on peut choisir une apparence féminine ou masculine, le copilote est obligatoire masculin ! Un choix très regrettable surtout qu’il existe d’excellentes copilotes féminines ! Comme Ilka Minor ou Véronica Engan.

D’un point de vue sonore, en général, DiRT Rally 2.0 est plus terne que DiRT 4 par exemple. Les musiques sont discrètes et plutôt d’ambiance. En fait, ça manque d’ambiance justement ! Quelques bruitages automatiques (notamment au menu d’assistance) peuvent même s’avérer énervants. Du côté des moteurs, le plus important au final, c’est assez inégal. Certaines autos sont très bien modélisées (comme la Fiesta R5), et à coté d’autres ont des bruits assez surprenants (C3 R5, Mitsubishi Lancer N4…). En Rallycross, certaines autos ont un superbe bruit en vue cockpit et un son plutôt moyen en vue externe ou en vue capot. S’il y a bien un point où DiRT peut encore vraiment s’améliorer c’est au niveau des sons moteurs. C’est un problème récurrent dans les jeux vidéo de rallye. Mais, rassurez-vous, DiRT Rally 2.0 et Codemasters restent les meilleurs sur ce point-là.

Terminons avec un rapide coup d’œil sur l’aspect technique du jeu. Comme beaucoup de titres maintenant, l’installation est assez conséquente (30 GB). Ce à quoi il faut rajouter 2 mises à jour (déjà !) de 15 et 5 GO. Alors, quand on sait que de nombreux DLC sont prévus, plus d’autres mises à jour (comme pour le son moteur de la C3 R5 enregistré très/trop récemment), on se dit qu’il faudra bien de la place pour accueillir ce DiRT Rally 2.0. Après, on comprend mieux les MAJ Day One en ayant vu quelques bugs (textures qui se déforment, bugs de collisions etc…). Maintenant, rassurez-vous, le dernier DiRT est de qualité. Fluide, sans de gros bugs, et avec un bon framerate. Techniquement, le jeu s’en sort donc bien.

Au final, ce DiRT Rally 2.0 est tellement bon qu’on a surtout envie de lister ce qu’il manque pour en faire le jeu parfait. L’absence de WRC modernes (de 2007 à 2018) est clairement regrettable. La licence WRC acquise par Bigben doit y être pour quelque chose même si on retrouve la Ford Fiesta WRC’17 dans Forza Horizon 4 par exemple. Le manque de variété dans les rallyes aussi (1 seul rallye asphalte et pas de neige au lancement etc…). Les rallyes terre se ressemblent pas mal également (hors la Pologne qui change la donne complètement). Pas de vrai mode carrière. Une VF discutable (contre Phil Mills en VO). Il existe un certain nombre de petits points sur lesquels on peut chipoter. Et, c’est ce qui fait qu’au final, ce DiRT Rally 2.0 n’est pas parfait. Il décroche le statut de référence en la matière sur PS4 et Xbox One (si vous voulez un jeu sous licence WRC, les jeux de Kylotonn resteront votre must et on peut le comprendre). A l’instar d’un Forza, ce DiRT Rally 2.0 est une simulation accessible mais de grande qualité ! De quoi en faire une excellente surprise et un très bon jeu !

Points positifs

  • Un gameplay pour tous et de qualité
  • Simulation accessible mais réaliste
  • Sensations au volant
  • Le Rallycross
  • Durée de vie
  • De vraies notes de copilote !
  • Réalisation graphique
  • Rattrape bien la licence après un DiRT 4 décontenançant

Points négatifs

  • Pas de multi en écran scindé ! Encore une fois !
  • Mode carrière en retrait
  • Peu de nouveautés au final
  • Où sont passées les Hyundai ?
  • Encore quelques oublis pour une expérience réaliste ultime
  • … Stéphane Prevot comme copilote français, choix discutable

Note

Graphismes 82%
Bande-Son 85%
Prise en main 85%
Plaisir de jeu 90%
Durée de vie 85%
Technique 85%
Réalisme 83%
Conclusion

En conclusion, on peut dire que Codemasters frappe fort avec ce DiRT Rallye 2.0. Les deux communautés (fidèles de DiRT vs Pro Simu) ont été écoutées. En résulte une simulation plus accessible mais pas au rabais pour autant. Le gameplay est plus fin, plus précis, plus réaliste, et le plaisir de jeu est présent pour tous ! Certains moments sont purement et simplement jouissifs ! Un beau casting auto, une belle réalisation, une excellente durée de vie, 80% du WorldRX (avant DLC), et de grandes sensations. Idéal pour en faire le meilleur jeu vidéo de rallye disponible sur Playstation 4 et Xbox One. Mais, il manque quelques petites choses pour en faire le meilleur jeu de rallye de l’histoire. Le plus gros défaut du jeu reste l’absence d’un mode multi 2 joueurs en écran scindé ! En tout cas, Codemasters nous offre un excellent titre à posséder dès lors que vous aimez le rallye et/ou le rallycross ou simplement les jeux de courses automobile !

Note finale 85% Un régal

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